Je suis

un peu à la bourre, non ?

Cela aurait fait un bon huitième topik !

chani a écrit:

Cela aurait fait un bon huitième topik !

Je n'ai pas trouvé topik dans le dico

Par contre, j'ai trouvé ça dans un magazine


La deuxième topique
En avril 1923 parut Le moi et le ça, important essai qui poursuivait les recherches sur le moi, l'idéal du moi et le mécanisme de l'identification narcissique qui avaient été amorcées dès 1917 avec "Deuil et Mélancolie", puis en 1921 dans Psychologie collective et analyse du moi.

Freud y décrivait un nouveau modèle du fonctionnement psychique qui fut nommé la deuxième topique. Les processus inconscients, soit originels (comme les deux pulsions antagonistes), soit secondairement refoulés, devaient être situés dans une instance première, nommée le ça. La partie du ça en relation avec la réalité extérieure se différenciait peu à peu pour former le moi, instance qui se trouvait donc amenée à régulariser les rapports entre les exigences pulsionnelles internes et les nécessités du monde extérieur. A la fin de l'évolution du complexe d'Oedipe, vers l'âge de trois ans, une nouvelle instance se différenciait par identification avec le père (ou les parents) interdicteur, formant le Surmoi, conscience morale à l'origine du: "Tu dois faire cela" (l'idéal du moi) comme du: "Cela t'est interdit" (d'où le sentiment de culpabilité dans les cas de transgression réelle ou fantasmatique). Le moi avait à gérer également les exigences de cette nouvelle instance et se voyait le contenant de mécanismes de défense qu'Anna Freud devait décrire en détail en 1936.


La deuxième topique constitue la dernière des grandes modifications que Freud apporta à la théorie psychanalytique. De 1923 jusqu'en 1939, ses travaux furent surtout voués à l'approfondissement des notions déjà décrites (Inhibition, symptôme et angoisse, 1926) et à la différenciation clinique et théorique des mécanismes psychiques à l'oeuvre, par exemple dans les perversions (la négation, le déni, le clivage du moi) ou dans la formation de la personnalité féminine, ce que à quoi l'avaient incité les vues théoriques et cliniques exposées par les nombreuses psychanalystes femmes qui l'avaient rejoint: Hélène Deutsch (1884-1982), Jeanne Lampl de Groot (1895-1987), Ruth Mac Brunswick (1897-1946), Marie Bonaparte (1882-1962), etc.. Les Nouvelles conférences sur la psychanalyse (1933) et l'Abrégé de psychanalyse (1938), que sa mort laissa inachevé, en contiennent un rappel détaillé.



Y a-t-il un rapport?

C'est ça aussi le folU. Même quand c'est chiant, on rigole.

Cqfd a écrit:

chani a écrit:

Cela aurait fait un bon huitième topik !

Je n'ai pas trouvé topik dans le dico

Par contre, j'ai trouvé ça dans un magazine


La deuxième topique
En avril 1923 parut Le moi et le ça, important essai qui poursuivait les recherches sur le moi, l'idéal du moi et le mécanisme de l'identification narcissique qui avaient été amorcées dès 1917 avec "Deuil et Mélancolie", puis en 1921 dans Psychologie collective et analyse du moi.

Freud y décrivait un nouveau modèle du fonctionnement psychique qui fut nommé la deuxième topique. Les processus inconscients, soit originels (comme les deux pulsions antagonistes), soit secondairement refoulés, devaient être situés dans une instance première, nommée le ça. La partie du ça en relation avec la réalité extérieure se différenciait peu à peu pour former le moi, instance qui se trouvait donc amenée à régulariser les rapports entre les exigences pulsionnelles internes et les nécessités du monde extérieur. A la fin de l'évolution du complexe d'Oedipe, vers l'âge de trois ans, une nouvelle instance se différenciait par identification avec le père (ou les parents) interdicteur, formant le Surmoi, conscience morale à l'origine du: "Tu dois faire cela" (l'idéal du moi) comme du: "Cela t'est interdit" (d'où le sentiment de culpabilité dans les cas de transgression réelle ou fantasmatique). Le moi avait à gérer également les exigences de cette nouvelle instance et se voyait le contenant de mécanismes de défense qu'Anna Freud devait décrire en détail en 1936.


La deuxième topique constitue la dernière des grandes modifications que Freud apporta à la théorie psychanalytique. De 1923 jusqu'en 1939, ses travaux furent surtout voués à l'approfondissement des notions déjà décrites (Inhibition, symptôme et angoisse, 1926) et à la différenciation clinique et théorique des mécanismes psychiques à l'oeuvre, par exemple dans les perversions (la négation, le déni, le clivage du moi) ou dans la formation de la personnalité féminine, ce que à quoi l'avaient incité les vues théoriques et cliniques exposées par les nombreuses psychanalystes femmes qui l'avaient rejoint: Hélène Deutsch (1884-1982), Jeanne Lampl de Groot (1895-1987), Ruth Mac Brunswick (1897-1946), Marie Bonaparte (1882-1962), etc.. Les Nouvelles conférences sur la psychanalyse (1933) et l'Abrégé de psychanalyse (1938), que sa mort laissa inachevé, en contiennent un rappel détaillé.



Y a-t-il un rapport?

Une petite nana SURMOI, CA me suffit!

Et comme le Viennois disait "Mieux vaut les seins dans l'abbaye que l'abeille dans l'essaim" (Sigmund Freud lors d'une murge au bar d'Eros et Thanatos le 12 décembre 1927)

Vu mon métier je ne suis pas contre le fait d'avoir un bon égo !

Qu'on aime ou non le chocolat, de nos jours on ne dit plus: "je souhaite avoir un bon neg'o" mais: "j'aimerais faire la connaissance d'un africain vigoureux"