Au couché de Saint Laurent
La mère se laisse boire
Son pubis aux lèvres
Se gonfle les désirs
Nonne qu'en illusion
Saint Laurent tâte sa peau
Et la mère se plaint
Ses seins recourbées
Au sol se renversant
S'exhibent pointes roses
C'est dégueulasse ! Juste Ciel !
Les amants se regardent
De moins en moins allumés
Après la jouissance, la brume
Seuls les cornards toujours crient
À la glotte de saint-Joseph, ça nuit.
Et les regrets du réveil
On revient aux trucs courants
On souhaite que Dieu n'ait plongé
Son regard par une éclaircie