Voici donc Tiguidou dont je n'avais pas encore lu les rêveries poétiques sur ce forum. Et je suis séduit par les images et par la musicalité de cette gymnastique d'expression écrite et corporelle.
Dans le souvenir des slows érotiques
Au son des à-corps de tendres musiques,
Leurs corps se poursuivent, ils passent et repassent
Et le corps aimé devient corps de chasse.
Un cri triomphal déchire la nuit,
Déchire les draps, malmène le lit,
Des bêtes à deux dos, c'était l'hallali
Dans leur chasse à courre à corps et à cris.